NOTES
Hugo résume ainsi, de mémoire, un paragraphe de Fénelon: « Encore une fois, je le trouve grand; mais ne puis-je pas parler en toute liberté de ses défauts?
En pensant bien, il parle souvent mal; il se sert des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en quatre mots, avec la plus élégante simplicité, ce que celui-ci ne dit qu'avec une multitude de métaphores, qui approchent du galimatias. J'aime bien mieux sa prose que ses vers. Par exemple L'Avare est moins mal écrit que les pièces qui sont en vers. [...] Mais en général il me paroît, jusque dans sa prose, ne parler point assez simplement pour exprimer toutes les passions. » (Lettre sur l'éloquence, dans Oeuvres choisies de Fénelon, Paris, 1837, p. 194.)
Flaubert retient la phrase de Hugo dans les notes préparatoires à Bouvard et Pécuchet.